La ville n'était pas morte
Fiche validée
Titre | La ville n'était pas morte |
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Type de publication | Chapitre de livre |
Langue principale de la publication | français |
Année de publication | 2020 |
Auteur | Charles DJUNGU-SIMBA K. |
Titre du livre | Les Embrouilleurs : nouvelles |
Pages de ... à (pp. x-x) | 25-47 |
Éditeur | les éditions du Pangolin les éditions du Trottoir |
Ville | Enghien |
Genre | nouvelle - récit bref |
Pays d'édition | Belgique |
Résumé/Présentation | Alors que s'organise une 'journée ville morte', Doudou, un jeune homme qui vit de petits boulots tout en préparant des études d'informatique, cherche à venir en aide à sa famille en dactylographiant la thèse de doctorat d'un député de la majorité, "un certain Justin Nkolekopye". Sa mère est en effet retenue à l'hôpital depuis deux semaines, après avoir accouché" d'un petit frère nommé 'Bienvenu', et il faut régler les frais d'hospitalisation. Mais Doudou est finalement tué par une escouade de 'mercenaires' (des soldats étrangers que le pouvoir a fait venir pour la circonstance) alors qu'il se tenait prudemment à l'écart de la manifestation. Au passage, le narrateur a croqué la silhouette de son frère le sergent Assani, un policier qui, pour une fois, a été convoqué pour sortir de son quartier pauvre et encadrer la manifestation. La nouvelle, bien construite, se termine au moment du retour de Mama Sangura, quand on apprend la nouvelle de la mort de Doudou. |
Référence complète | Djungu-Simba, Charles. La ville n'était pas morte. In : Id., Les Embrouilleurs : nouvelles. [Lecture de Jean de Dieu Itsieki Putu Basey]. Enghien : les éditions du Trottoir ; [à la couverture : les éditions du Pangolin], 2020, 153 p. ; p.25-47. |