Résumé/Présentation |
Précédé par une épigraphe empruntée à Eustache Deschamps et saluant la ‘fleur de chevalerie’ d’autrefois, ce texte est à la fois méditation et récit anecdotique d’une fin de terme qui repasse à Dilolo. Mais auparavant, on a évoqué une soirée mélancolique et pluvieuse, au cours de laquelle arrive néanmoins le camion apportant le courrier postal, dont un télégramme qui commande de célébrer des Te deum pour la prestation de serment du Roi Léopold. Dans un autre courrier, on apprend « qu’’IL’ est mort ». Le récit reprend après dix-huit mois, par beau temps ; un médecin américain vient annoncer la mort de la Reine Astrid. Enfin, dans un troisième temps, on se retrouve à Dilolo, par hasrd au moment d’une cérémonie du 11 novembre dans le hall de la gare. Évocation patriotique émue où l’on reprend le discours du porte-parole des Anciens combattants, discours qui se termine par la demande, adressée aux partants, de « dire à tous ceux de chez nous ce que nous, ‘Coloniaux’, faisons ici » (PH). |