| Résumé/Présentation |
D'abord, "Ce qui est..." : présentation du Tribunal de Chefferie, puis du Dispensaire de Chefferie, enfin d'une école de village, d'un passage à gué, d'un hameau dans la brousse. Ensuite, "Ce qui devrait être", selon une loi promulguée par le Conseil colonial, dont des extraits sont cités en italiques à la fin du texte, et qui vise à faire assumer davantage de responsabilités par les autorités coutumières, notamment à propos des routes, des écoles, etc. Le lecteur est d'abord un peu dérouté par le fait que le personnage de l'administrateur (dans la fiction représentée) reprend les termes de cette loi pour les expliquer aux chefs indigènes, qui ont des objections solides à soulever, à commencer par le fait que le Boula Matari les a pas mal privés de l'autorité nécessaire ; mais on comprend finalement que le narrateur principal, qui s'est représenté dans le personnage, "est placé devant un dilemme" et a dû tenir un discours avec lequel il garde une distance (PH).
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