Résumé/Présentation |
"[...] l’exégèse du 'Dernier survivant de la Caravane' révèle que l’identité est une réalité en mutation, mutation provoquée par les caravanes de la vie, [celles-là même dans lesquelles l’homme est embarqué, qu’il jouisse ou non] d’une stabilité territoriale. La violence et l’impérialisme sous toutes ses formes n’engendreraient que la mort. Il incombe à la littérature, dont l[e] pouvoir permet de remonter dans le temps et d’envisager l’avenir, d’assumer cette problématique de l’heure qu’est la migration pour que, ainsi que conclut le vieux Ngalandji dit Ngala au terme de son récit, « La vie, une vie simple, joyeuse et laborieuse » reprenne ses droits" (conclusion) |