De l'écrit à l'oral : la transformation des classiques du roman africain
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AfriqueThématique
classique, oralité, oral, écrit, littératureDisciplinaire
études littéraires, histoireFiche validée
Titre | De l'écrit à l'oral : la transformation des classiques du roman africain |
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Type de publication | Article de périodique |
Langue principale de la publication | français |
Date de publication | 2001 |
Auteur | Christiane NDIAYE |
Titre du périodique | Études françaises |
Volume ou tome | 37 |
N° de la livraison | 2 |
Éditeur | Université de Montréal |
Ville | Montréal |
Genre | article scientifique |
Pays d'édition | Canada |
DOI | 10.7202/009007ar |
URL | http://id.erudit.org/iderudit/009007ar |
Résumé/Présentation | "Il est bien connu que la première histoire littéraire de l'Afrique avait retenu l'engagement, le témoignage « fidèle » et le réalisme comme critères pour décider de ce qui était « digne d'intérêt ». Mais lorsque s'est fait entendre la voix de la critique africaine, à partir des années 1970 (M. Kane, A. Koné, Makouta-Mboukou, etc.), on a réclamé un « retour aux sources ». Est alors devenu « significatif » ce qui relève de « l'esthétique négro-africaine », soit les oeuvres qui s'inspirent des conventions de la tradition orale. Il importe à cette critique que les moyens linguistiques et les modèles narratifs mis en oeuvre par les écrivains s'articulent à partir de l'héritage culturel africain. Mais qu'est-ce que l'oralité ? La « tradition africaine » ne serait-elle pas aussi une invention occidentale, comme le suggère Bernard Mouralis ?" (site Erudit, 2016.12) |
Référence complète | Ndiaye (Christiane), « De l'écrit à l'oral : la transformation des classiques du roman africain », in : Études françaises, vol. 37, n°2, 2001, p. 45-61. |